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Très vite, la majorité et l'opposition se sont divisées sur le thème essentiel du rapport à la croissance. Pour les conservateurs (CDU-CSU) et les libéraux, "la croissance n'est pas un but en soi [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] mais un moyen dont l'importance est grande pour d'autres [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] objectifs". Le président du Parti libéral-démocrate (FDP), Philipp R?sler, par ailleurs vice-chancelier et ministre de l'économie, répète même régulièrement que "le FDP est le parti de [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] la croissance". Pour la gauche en revanche, "la croissance économique n'est pas une condition suffisante pour [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] le bien-être et la qualité de vie".
De même, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] les députés de la majorité estiment que "l'économie sociale de marché" qui caractérise l'économie allemande est un modèle qui a fait ses preuves et était capable d'évoluer en fonction des besoins ; l'opposition jugeant au contraire qu'il fallait réfléchir à une "transformation sociale-écologique". Bref, le sur lequel repose le "made in Germany" depuis les années 1950.
dispose, à son tour, d'un rapport sur le au-delà du produit intérieur brut (PIB). Mais là où avait demandé à de prestigieux experts (Joseph Stiglitz, Amartya Sen, Jean-Paul Fitoussi...) [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] de sur la question, l'Allemagne avait, en novembre 2010, confié [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] ce soin à une commission du Bundestag.
Durant près de [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=390331089734&ssPageName=STRK:MESE:IT]www.achbanker.com/home.php Et[/url] deux ans [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] et demi, 17 députés et autant d'experts se sont régulièrement réunis au sein de la commission d' "Croissance, bien-être, qualité de vie". Ils ont publié, lundi 15 avril, le résultat de leur travail. Celui-ci est certes impressionnant – le rapport contient plus de mille pages et définit bien un indicateur [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] intégrant des critères sociaux et écologiques –, mais le contenu n'est pas révolutionnaire.
Un ensemble trop complexe et disparate pour être vraiment convaincant, jugent les écologistes, qui avaient proposé de seulement quatre critères : l'utilisation de , la répartition des revenus, le PIB par habitant [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] et la satisfaction des conditions de vie. Quoi qu'il en soit, la commission espère qu'à l', les différents experts qui travaillent sur des hypothèses de croissance pour le [url=http://www.indiehex.com/forums/discussion/41301/hollister-making-money-online-and-how-to-make-it-happen]hollister Making Money Online And How To Make It Happen[/url] gouvernement intégreront ces différentes données.
"LA CROISSANCE N'EST PAS UN BUT EN SOI"
D?FINIR UNE " DURABLE"
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Par ailleurs, la commission a tenté de des [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] mesures concrètes [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] pour certains secteurs d'activité. Elle s'est notamment penchée sur la régulation des marchés financiers et la "chimie durable",? et a essayé [url=http://gk.ggabc.net/guestbook.asp?guestid=]tiffany ou[/url] de définir ce qu'était une "consommation durable". Les députés espèrent maintenant que la société civile va s' de ses travaux. D'ores et déjà, la confédération syndicale DGB a organisé plusieurs colloques sur le sujet et a sensibilisé ses militants sur le fait qu'il ne servait à rien de , à l', sur des taux de croissance comparables à ceux des .
Malgré tout, les députés se sont mis d'accord pour établir un indicateur global qui, à c?té de la croissance, intègre des facteurs sociaux et écologiques. Celui-ci comprend dix critères : trois économiques (le PIB, le montant de la dette et la répartition des revenus), trois écologiques (la préservation en Allemagne de la biodiversité, les émissions d'azote, les émissions de gaz à effet de serre) et quatre critères sociaux (l', la santé, l'éducation et la liberté).