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Ces études sont cependant loin de l'unanimité. Le blog s'interroge ainsi sur le profil de leurs auteurs, et rappelle qu'Alex Wissner-Gross est l'initiateur du projet , "dont le business est justement d' et de l'empreinte écologique des firmes informatiques et des sites Web". Prenant la du Réseau, Fluctuat.net suggère également de les rendus par Internet et son co?t énergétique avec "les [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] autres et services auxquels il se substitue en partie, comme le courrier postal, presse et produits imprimés, VPC..."
2 % DES ?MISSIONS DE [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi?mode=view&no=1106297&res=1&page=450]jordan pas cher Les opérateur[/url] GAZ ? EFFET DE SERRE
UN AVATAR CONSOMME AUTANT QU'UN VRAI BR?SILIEN
Plus surprenant : en vie un avatar dans le jeu de réalité virtuelle Second Life pendant un an consommerait autant d'énergie qu'un Brésilien moyen, soit 1 752 kilowatts-heure. C'est en tout cas ce qu'affirme , auteur de The Big Switch, Rewiring the World. "Cette comparaison n'est pas déraisonnable, explique au Times Liam Newcombe, expert en centre de calcul à la British Society. Cela nous montre combien les Occidentaux utilisent d'énergie pour se au regard [url=http://idlirasam.net/gallery/displayimage.php?album=lastup&cat=0&pid=61]How To Build A Chicken Coop Cheap[/url] de la pauvreté énergétique de certains pays."
"Google fait d'immenses de calcul partout dans le monde, qui consomment une importante quantité d'énergie, explique Alex Wissner-Gross dans le . Une recherche Google a donc une empreinte environnementale définie." Avec plus de 200 millions de recherches quotidiennes, la électrique et les émissions [url=http://www.burnabystorage.com/barbour.php]barbour milano outlet[/url] de gaz à effet de serre provoquées par les ordinateurs constituent donc un vrai sujet d'inquiétude, estime le quotidien britannique.
, physicien [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] à l'Université de Harvard, deux requêtes sur Google consommeraient autant de carbone qu'une tasse de thé bien chaud. Selon les travaux de ce scientifique, deux requêtes sur généreraient 14 grammes d'émission de carbone, soit quasiment l'empreinte d'une [url=http://www.izu.co.jp/~kiryuu/cgi/romakura/gestbook/aska.cgi/aska.cgi]barbour deutschland Locate Yo[/url] bouilloire [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry sale[/url] électrique (15 g).
"Les [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] centres de calcul sont parmi les infrastructures les plus [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich[/url] co?teuses en énergie qu'on puisse imaginer", renchérit , scientifique au Laboratoire national de Californie. Quand un internaute fait une recherche sur Google, sa requête est dirigée vers plusieurs serveurs [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler pas cher[/url] qui sont les uns avec les autres, parfois à des milliers de kilomètres. Google envoie ensuite l'information de celui qui a produit la réponse la plus rapide. "Google est très efficace, poursuit Evan Mills, mais le premier but [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] est la rapidité, et qui dit rapidité dit consommation importante d'énergie."
Selon un récent rapport du cabinet d'analyse Gartner, l'industrie informatique génère à elle seule 2 % des émissions de gaz à effet de serre, devant l' aéronautique. Le simple [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] fait d' un [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] ordinateur consomme entre 40 [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] g et 80 g de carbone par heure, explique John Buckley, directeur de , un cabinet d'expertise environnementale britannique. La consultation d'une simple page Web consommerait à elle seule environ 0,02 gramme de carbone par seconde, le chiffre étant multiplié par 10 pour une page enrichie d'images [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] complexes ou de (0,2 gramme).