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D'autres pistes existent : la simplification des règles du repos hebdomadaire et du travail à temps partiel. Il est aussi envisagé de aux entreprises, et non aux branches, la possibilité de elles-mêmes leur contingent d'heures supplémentaires. En tout état de cause, aucune proposition ne sera retenue avant l'automne, date à laquelle verra le jour le projet [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] de loi sur l' prévu dans le cadre du plan de cohésion sociale. Et, pour l'instant, la consigne officielle de l'Elysée reste ne pas à l'horaire légal et de s'en aux assouplissements Fillon.
"Il ne faut pas une réforme profonde" des 35 heures, a déclaré M. Sarkozy, qui en fait une affaire de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] "franchise". Le ministre de l'économie et des , qui les tient pour un "contresens économique", a proposé de "donner le choix à chacun de à 35 heures ou de [url=http://alwatanradio.ps/home/m/events/view/hollister-deutschland-Harlem-D-sir-pr-sente-sa-nouvelle-quipe-laile-gauche-du-PS-mise-au-ban]hollister deutschland Harlem Désir présente sa nouvelle équipe, laile gauche du PS mise au ban[/url] en pour ceux qui veulent plus". Il rejoint ainsi l'aile libérale de la majorité, emmenée par le député () d'Indre-et-é Novelli, qui juge trop limités les assouplissements prévus par la loi Fillon du 17 janvier 2003.
L'appétit de renégociation des 35 heures est limité dans les branches et dans les grandes entreprises. Et la majorité des syndicats, CFDT en tête, ne veulent pas de leur remise en cause. "Nous ne troquerons pas les 35 heures contre le plan de cohésion sociale", a prévenu, mercredi, la CFTC, résumant l'état d'esprit quasi général. Seule FO, traditionnelle adepte du syndicalisme de la feuille de paie, a adopté un profil bas.
a relancé avec fracas, mercredi 30 juin, le débat sur la révision des 35 heures, devant plusieurs centaines de patrons de PME, réunis à Paris par la Confédération générale des petites et moyennes (CGPME). Quelques heures auparavant, le secré d'Etat au budget, Dominique Bussereau, un proche de Jean-Pierre Raffarin, avait, lui aussi, plaidé pour de nouveaux assouplissements des lois Aubry. Enfin, le premier ministre a conclu ce forum en soulignant que les Français devaient davantage s'ils le souhaitent.
En l'état actuel de la législation, les huit premières heures supplémentaires sont majorées à un taux de 25 %, et les heures suivantes à un taux de 50 %, les entreprises de moins de vingt salariés bénéficiant d'un traitement spécial jusqu'à la fin 2005. La suppression de ces majorations salariales, évoquées par M. Sarkozy, reviendrait en réalité à de son sens l'idée même de durée légale du travail qui sert, entre autres, à déclencher le paiement des heures supplémentaires bonifiées. Le cabinet de M. Sarkozy assurant que ce dernier n'a pas l'intention de sur l'horaire légal, la proposition de suppression des taxes sur les heures supplémentaires peut s' autrement : une ouverture, à préciser, en direction des chefs d'entreprise, en échange d'une diminution des allégements de charges consentis pour l'augmentation du coût du travail liée aux 35 heures.
Claire Guélaud
Intervenant avant M. Sarkozy, M. Bussereau avait évoqué "les difficultés à l'embauche" des PME. "Nous voulons toute sa place au travail. C'est dans cet esprit que nous examinons, sans esprit dogmatique, les possibilités d'assouplissement supplémentaires des 35 heures", avait-il indiqué. En fin de journée, le premier ministre a, [url=http://hccweb6.bai.ne.jp/nyanji/cgi-bin/aska.cgi/aska.cgi]hollister outlet UMP le doc[/url] lui, pris l'exemple de l', où la direction et les syndicats de Siemens ont signé, le 24 juin, un accord de retour aux 40 heures sans compensation salariale pour éviter les délocalisations. "La France a un modèle [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie[/url] social [url=http://pochiko-tei.qee.jp/joyful/joyful.cgi?mode=res&no=579%3C/a%3E]louboutin Suggestions And Ide[/url] dont elle est fière. Pour le préserver, elle doit le nombre [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] total d'heures travaillées", a estimé M. Raffarin. Le ministre de l'économie et des finances a été plus précis, n'hésitant pas à au débat une proposition : la suppression de "toute forme de taxation sur les heures supplémentaires", une proposition plus radicale qu'il n'y [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] paraît.
Le jour et le lieu choisis ne doivent rien [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] au hasard. C'est devant un parterre de chefs d'entreprises hostiles à la réduction "autoritaire" du temps de travail que les trois hommes sont repartis à l'assaut des 35 heures. C'est aussi le jour de la présentation en conseil des ministres du plan Borloo, censé le "virage " annoncé par au lendemain des régionales, qu'ils sont revenus sur ce sujet qui divise la droite.
Privé d'interlocuteurs côté syndical mais aussi patronal - le Medef est opposé à un troc "donnant prenant" dans lequel de [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] nouveaux assouplissements seraient conditionnés à la diminution des allégements de charge -, le gouvernement pense s' sur l'opinion publique pour les choses. Il est conforté dans cette idée par un sondage CSA- L'Expansion, publié en septembre 2003, selon lequel [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] 65 % des salariés passés aux 35 heures sont prêts à y "en contrepartie d'une augmentation correspondante" de leur salaire.
Pour "dé progressivement les 35 heures", le gouvernement envisage donc d' au Parlement, et peut-être par la voie d'amendement parlementaire. Le chiraquien Patrick Ollier, président (UMP) de la mission d'information sur les 35 heures et Luc Chatel, porte-parole de l'UMP, ont indiqué au Monde que Gérard Larcher avait constitué un groupe de travail sur les 35 heures avec les parlementaires UMP. Dans cette affaire, le ministre délégué aux relations du travail peut le soutien de l'UDF qui a toujours été [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] très hostile sur les 35 heures. Et, le 24 juin, lors du débat d'orientation budgé, le porte-parole de l'UDF, Nicolas Perruchot, l'a redit : "La croissance ne peut pas [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] si l'on consacre 15 milliards [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] à moins les gens. Nous sommes le seul pays à cela", [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] en reprenant presque mot pour mot les arguments régulièrement martelés par .
Officiellement, Matignon entend s'en au dialogue et à la concertation. C'est la raison pour laquelle le ministre de l'emploi et de la cohésion sociale, , a souhaité, mercredi, l'ouverture d'une négociation interprofessionnelle sur l'évolution de la législation sur la durée du travail. Officieusement, la situation est plus compliquée.