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xyrva0h5
Posted: Thu 14:46, 12 Sep 2013
Post subject: hollister france Les Bush de Dallas à Dynastie
George W. n'est que le dernier rejeton d'une longue lignée qui compte parmi les plus importantes des ?tats-Unis, à la croisée du business et de la politique.
De l'un de nos envoyés spéciaux
à Philadelphie.
Ce fut le jeu préféré de la Convention républicaine : le bushspotting. Comme dans le roman Trainspotting, d'Irvine Welsh, qui se réfère aux badauds anglais comptabilisant les trains qui passent, les délégués, les militants et les journalistes présents à Philadelphie ont occupé leur temps à essayer de repérer les membres de la famille Bush dans les travées de l'immense hall qui accueillait cette grande foire politique. Reconnaissons-le, ce n'était pas très difficile. Il fallait vraiment mettre beaucoup de mauvaise volonté pour ne pas apercevoir un quelconque membre de la lignée : George H.W., le père de l'actuel candidat et ancien président des ?tats-Unis, constamment présent dans les tribunes et dans les diverses émissions de télévision ; Barbara, la mère, repérable à ses robes aux couleurs pétantes ; Laura, l'épouse, qui promène son sourire un peu forcé sur tout ce barnum ; George P., le neveu préposé au r?le de beau gosse hispanique de service (sa mère est mexicaine) ; Jeb, le frère, gouverneur de Floride... Personne n'était en mesure de donner le nombre exact de membres de la famille présents, mais on devait bien approcher la soixantaine, si l'on se fonde sur le précédent de la convention de 1992, lorsque pas moins de 71 Bush avait fait le pèlerinage pour la grand-messe républicaine !
Les grandes familles politiques sont ce qui se rapproche le plus de la monarchie aux ?tats-Unis. Les Américains ne possédant pas de Grimaldi, de Windsor ou de Bourbon pour se distraire à coups de révélations scandaleuses, d'intrigues d'arrière-cours, de mariages fastueux ou de [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] morgue pour le reste de l'humanité, ils sont [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] bien obligés de se rabattre sur ce qu'ils ont sous le coude : les Rockefeller, les Roosevelt, les Kennedy, les Bush. Bien entendu, le " déploiement de forces " familiales du candidat George W. Bush à la convention républicaine, fait inévitablement penser au précédent des Kennedy, et réunit ainsi ces deux lignées dans l'imaginaire américain. Eux aussi, en leur temps, s'étaient impliqués dans les rouages d'un parti pour amener un des leurs au poste suprême. On compte d'ailleurs un certain nombre de points communs entre les deux parentèles : même origine bourgeoise de la Nouvelle-Angleterre, même implication dans les réseaux politico-économiques de la c?te Est, même ascendance d'un patriarche à poigne décidant de la conduite des affaires... Mais au-delà de ces similarités, les deux familles divergent grandement dans leur attitude vis-à-vis du pouvoir. Autant les Kennedy étaient prêts à tout pour acquérir des postes politiques quels que soient les moyens - le vieux Joe, qui avait fait fortune dans la contrebande d'alcool au temps de la prohibition, n'a pas lésiné sur les valises de billets transmises à la Mafia et aux syndicats -, autant les Bush sont passés ma?tres [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] dans l'art de nouer les bonnes relations avec les bonnes personnes et de renvoyer l'ascenseur. Il y a quelques mois, Barbara Bush déclarait dans un meeting de campagne destiné à soutenir son fils : " Savez-vous qu'un Américain sur huit est gouverné par un Bush ? " Après les ?tats de Floride et du Texas, la famille entend bien placer à nouveau l'un des siens à la Maison-Blanche.
L'histoire de la famille Bush débute véritablement dans les années d'entre-deux guerres. Prescott Bush, le grand père de George W., est un des banquiers [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] d'affaires les plus réputés de Wall Street. Durant sa carrière, il siégera dans les conseils d'administrations d'entreprises majeures comme CBS, Prudential Insurances ou Pan American Airways. En 1952, il devient sénateur du Connecticut et on le trouve fréquemment à jouer au golf avec le président Eisenhower. Sa femme, Dorothy Walker, vient d'une famille tout aussi illustre dont le père, lui aussi banquier, était l'un des conseillers officieux du gouverneur de New York qui deviendrait président, Franklin Roosevelt. Tous les deux eurent cinq enfants qui entrèrent chacun dans les " affaires ", comme on disait à cette époque-là. Le deuxième fils, George H.W., après avoir fait la Seconde Guerre mondiale dans le Pacifique et en être revenu avec une prestigieuse médaille militaire, décide de tenter sa chance loin du Connecticut familial, en allant s'essayer à l'exploration pétrolière au Texas. Au bout d'une dizaine d'années, il est devenu millionnaire et commence à songer à une carrière politique. ?lu député puis sénateur dans les années soixante, il fait partie des proches de Nixon. Dans la décennie suivante, il est nommé successivement ambassadeur aux Nations unies, président du Parti républicain, puis directeur de la CIA. En 1980, il rejoint Ronald Reagan et atterrit à la Maison-Blanche au poste de vice-président. Huit ans plus tard, c'est à son tour d'accéder à la magistrature suprême du pays. Malgré un taux de popularité fracassant au sortir de la guerre du Golfe, il se fait battre au bout de quatre ans par un jeune gouverneur de l'Arkansas, Bill Clinton. Il peut alors prendre sa retraite et se pencher sur la destinée de ses enfants.
George W., l'actuel candidat à la présidence, est l'a?né, mais il n'est pas celui que la famille s'attendait à voir succéder à leur père. Fougueux, indiscipliné et élève moyen durant sa jeunesse, il [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister uk[/url] s'opposait à son frère Jeb, qui apparaissait comme le véritable " animal politique ". Ce dernier s'établit en Floride où, dans les années quatre-vingt, il se lie d'amitié avec un certain nombre de personnalités peu recommandables de la communauté cubaine de Miami. Il participe à des affaires immobilières avec eux et se retrouve devant la justice pour diverses malversations - une constance puisque son plus jeune frère Neil se verra accusé de " défaillances éthiques " par les autorités judiciaires après avoir précipité à la faillite la banque qu'il dirigeait. Il s'en réchappe avec seulement une amende, ce qui ne l'empêche pas de devenir gouverneur de Floride en 1998 et de développer ses ambitions présidentielles. Mais c'est son frère qui lui passe devant. Le mauvais élève George W. a suivi les traces de son père avec plus d'assiduité. Il commence d'abord dans le pétrole, comme papa, mais il échoue - ce qu'il essaie perpétuellement de masquer en se définissant comme un businessman qui a réussi. Après avoir servi comme conseiller politique durant les diverses campagnes de son paternel, il réussit à décrocher le jackpot en participant au rachat puis à la revente d'une équipe de base-ball, les Texas Rangers. Il semble enfin se détacher de l'ombre tutélaire de son père en étant élu gouverneur du Texas en 1994, avant finalement d'y replonger en se lan?ant dans la course à la présidence. S'il est élu, il rejoindra John Quincy Adams dans les livres d'histoire, qui était entré à la [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] Maison-Blanche en 1825, un quart de siècle après son père.
Bien entendu, lorsqu'on évoque le mot dynastie devant les Bush, les dénégations fusent. La phrase préférée de George W. est : " Nous avons hérité d'un nom, mais pas d'un bulletin de vote. Il faut gagner le bulletin de vote. " Pourtant, on per?oit clairement dans les carrières politiques des Bush l'importance des réseaux noués par la famille au fur et à mesure des générations. Contrairement aux Kennedy qui ont littéralement acheté des électeurs, Bush et Compagnie ont profité de jeux d'intérêts bien plus subtils tout en proclamant servir le pays par " devoir ". Le père, George H.W., a su s'appuyer sur les collègues républicains de son propre père afin de sortir du Texas et d'émerger au niveau national. Ensuite ce fut lui qui mit le pied de ses fils à l'étrier pour leur carrière politique, notamment en les aidant à financer leurs campagnes électorales gr?ce à ses amis de Washington, pendant que son frère Jonathan se chargeait de trouver des investisseurs pour les entreprises pétrolières de George W. Aujourd'hui, on voit émerger une troisième génération de Bush, avec le neveu du candidat, George P. (la variété des prénoms n'est pas le point fort de la famille !), vingt-trois ans, qui bat l'estrade pour son oncle et qui, sans nul doute, se verra renvoyer l'ascenseur par ses a?nés s'il décide un jour d'entrer en politique.
Dans les coulisses de la convention de Philadelphie, le plus dr?le consistait à observer le manège de l'ancien président Bush. Ce dernier ne cessait de proclamer qu'il ne participait en aucune fa?on à la campagne de son [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] fils et qu'il ne lui donnait aucun conseil, cela dans le but de ne pas faire appara?tre le candidat républicain comme le " fils à papa " manipulé par son géniteur, qui chercherait à réinvestir la Maison-Blanche par procuration. Dans le même temps, il était présent de manière continuelle à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] la convention et dans les talk-shows où, lorsque le journaliste le poussait un peu, il admettait sans trop de difficulté, avoir " parlé à George ce matin ", lui avoir " conseillé une ou deux choses [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] pour son discours ", etc. Barbara Bush, elle, n'avait pas ce genre de prévention, [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] puisqu'elle déclara de but en blanc : " Mon mari est obsédé par la campagne : il veut tellement voir George gagner. " Car la victoire, bien s?r, signifierait la perpétuation de la dynastie, qui atteindrait soudain un autre [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] niveau : la succession d'un fils à la tête de l'unique superpuissance mondiale, [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] huit ans après que son père a perdu le poste. Restauration, vous avez dit ?
Thomas Cantaloube
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