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Il est stupéfiant que le premier ministre ait allumé cette mèche avec une telle désinvolture. Ce faisant, il a fait la avant l'économie et jugé moins dangereux de la place de la Grande-Bretagne en Europe plut?t que de de le soutien de parlementaires conservateurs rebelles. Je ne pense pas qu'il ait anticipé, et encore moins voulu, le schisme qu'il a provoqué. Pendant un déplacement à Bruxelles, il m'avait dit que sa t?che en tant que dirigeant conservateur consistait à les déchirements de son parti sur l'Europe. "Dès que mettez deux députés tories dans une même pièce, ils s'écharpent à propos de l'Europe ", se plaignait-il alors. Comme tous les dirigeants européens, la crise de la zone euro l'a fait dans un guet-apens.
Si, au contraire, le gouvernement choisit de filer [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] les choses et, pire encore, voit un intérêt politique à le sentiment anti-européen en Grande-Bretagne, il ne pourra pratiquement plus résister à la demande visant à figurer un référendum définitif sur l'adhésion de la Grande-Bretagne à l'UE dans le prochain manifeste conservateur. Dans cette hypothèse, la Grande-Bretagne devra un combat majeur pour rester dans l'Europe. C'est cette longue mèche que vient peut-être d' David Cameron.
Traduit de l'anglais par .
Face aux faiblesses de la zone euro, cruellement mises à nu par la crise de la dette souveraine, M. Cameron a [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] d? un choix. Soit il participait à l'approfondissement de l'intégration européenne afin de l'économie européenne - et britannique -, ce qui impliquait qu'il réduise au silence les plus virulents de ses parlementaires eurosceptiques, soit il amadouait ses opposants au sein du parti en souscrivant à la nécessaire intégration, mais sans que le prenne place à la table commune.
Depuis l'entrée de la Grande-Bretagne dans l'UE, l'un de nos principes fondamentaux a [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] été de ne jamais à une influence sur la politique européenne ; donc à ne jamais nous d'une table où doit être prise une décision susceptible d' les intérêts britanniques. Edward Heath a posé cette règle, Margaret Thatcher l'a bétonnée et John Major l'a résolument mise en oeuvre à Maastricht. David Cameron, au contraire, l'a abandonnée, non [url=http://en.lanesync.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2293665&pid=2667270&page=1&extra=page=1#pid2667270]moncler sito ufficiale La nature, meilleur rempart[/url] parce que c'était son désir, mais parce qu'il lui manque l'autorité politique au sein de son propre parti pour la .
En choisissant la seconde option, il a privé la Grande-Bretagne de toute influence sur l'orientation que prendra l'Europe pour résoudre la crise, avec toutes les implications que cela aura sur une économie britannique étroitement liée au destin de la zone [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] euro. En dépit des applaudissements de ceux qui ont salué sa combativité toute britannique, M. Cameron a en réalité opéré un choix qui marque une rupture non seulement avec les décisions de tous les gouvernements britanniques précédents, mais aussi avec celles de tous les premiers ministres conservateurs jusqu'à présent.
de séparer la Grande-Bretagne du reste de l'Europe. Non seulement nous nous sommes exclus d'une à deux vitesses, mais notre pays s'est engagé dans une autre direction. Si l'énorme déception qu'éprouvent les dirigeants européens à notre endroit ne s'apaise pas et si le populisme anti-européen gagne du terrain en Grande-, cela pourrait des [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] conséquences dramatiques sur l'appartenance même de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] notre pays à l' (UE) et, par conséquent, sur notre économique.
Il ne reste plus au gouvernement qu'à espérer, comme l'a suggéré le chancelier de l'Echiquier, , que l'on croie que la Grande-Bretagne continue d' une influence [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] en Europe, et non qu'elle est en train de s'éloigner d'elle. Mais c'est pratiquement impossible. La colère contre Londres est presque palpable chez les hommes politiques du continent. Depuis plus de quarante ans, nos partenaires ont fait preuve d'une grande patience. Appréciant, malgré tout, que la Grande-Bretagne fasse partie de l'Union, ils se sont accommodés des ambivalences britanniques. Le gouvernement britannique vient de leur leur bonne volonté à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] la figure.
L'affirmation selon laquelle, en opposant [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] son veto au traité européen, le premier ministre aurait sauvé la d'une dangereuse menace est tout aussi fantaisiste. La régulation financière de l'UE [url=http://www.7cvps.com/forum.php?mod=viewthread&tid=1276&fromuid=16]hollister france Yohann Diniz bat le record du monde du 50 000 m marche[/url] sera décidée à la majorité, et cette majorité exigera des règles vigoureuses visant à les activités de ceux qui, selon elle, ont tout fait pour la crise de la zone euro. L'instauration d'une taxe sur les transactions [url=http://park16.wakwak.com/~wakachan/cgi-bin/k_bbs/joyful.cgi]louboutin pas cher Zeek Rewar[/url] financières portera tort à la City et nous ne pourrons l'empêcher. Vu [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] la fa?on dont le gouvernement britannique a traité ses partenaires européens à Bruxelles, pourquoi l'Union ferait-elle le moindre geste pour nous sur ce point, comme sur d'autres ?
Il importe de bien ce qui vient de se . Les dispositions prises en vue de - sans la Grande-Bretagne - la zone euro conféreront, si elles sont appliquées, un croissant à Bruxelles. L'institution essentielle qu'est la Commission européenne, dans laquelle les gouvernements britanniques avisés ont, jusqu'ici, toujours investi pour le couple franco-allemand, s'efforcera de préserver sa prééminence. Il est tout simplement ridicule de que l'influence de la Grande-Bretagne est [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] intacte, comme le clame le gouvernement.
Le gouvernement doit à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] présent preuve de la plus grande prudence. Il devrait toute initiative encore possible pour à améliorer la liquidité de la zone euro et en place le pare-feu destiné à protéger la monnaie européenne. Il faut également d'urgence les domaines politiques et les mesures permettant de en valeur nos engagements européens.

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Dominique Strauss-Kahn, le directeur général du Fonds, s'est dit "inquiet" de ce dérapage. Ceyla Pazarbasioglu, chef de mission du FMI à Kiev, répond par avance sur le site du Fonds à tous ceux qui reprocheront à [link widoczny dla zalogowanych] l'institution de atteinte au d'achat des Ukrainiens en privilégiant l'orthodoxie [link widoczny dla zalogowanych] [link widoczny dla zalogowanych] budgétaire.
Sa mauvaise volonté est [link widoczny dla zalogowanych] patente, puisque, souligne-t-on à Washington, il pourrait sans peine les 500 millions de dollars qu'il doit à Moscou, début novembre, et les 600 millions d?s en décembre, car le FMI lui a versé en plus 2 milliards de dollars de droits de tirage spéciaux (DTS). Les réserves de l'Ukraine se [link widoczny dla zalogowanych] sont regonflées à 30 milliards de dollars.
Du c?té du FMI, ce sont les foucades budgétaires de M. Iouchtchenko qui désespèrent. Après une chute de son produit intérieur brut (PIB) de 15 % en 2009, selon la Banque mondiale, sous l'effet d'une [link widoczny dla zalogowanych] chute des prix de l'acier et d'emprunts excessifs en étrangères, l'Ukraine espérait avec la croissance (+ 2,5 % prévus en 2010), gr?ce au programme signé avec le FMI. Celui-ci a promis d' 16,9 milliards de dollars.
M. Poutine accuse Kiev [link widoczny dla zalogowanych] de le paiement du gaz russe livré à l', tandis que Moscou a payé, d'avance et jusqu'au premier [link widoczny dla zalogowanych] trimestre 2010, le droit de [link widoczny dla zalogowanych] passage de son gaz [link widoczny dla zalogowanych] sur le territoire ukrainien vers l', soit 2,5 milliards de dollars (1,7 [link widoczny dla zalogowanych] milliard d'euros).
, le président ukrainien ?, se demandent le premier ministre russe, , l' et le Fonds monétaire (FMI), pour une fois sur la même longueur d'onde.
Si le président persiste à avec le feu, le FMI suspendra le paiement de la troisième tranche de son , soit 2,3 milliards de dollars, et la fermera le robinet du gaz, au grand dam de l'Union européenne.La reprise ne sera s?rement pas au rendez-.
"Le FMI est d'accord avec la décision initiale des autorités d' les salaires en ligne avec l'inflation, soit 10 %, déclare-t-elle. Mais l'application de la hausse votée par le Parlement est totalement irréaliste, car elle co?terait 7 % du PIB ukrainien et se traduirait par une inflation qui pénaliserait en premier les plus pauvres et par une réduction significative du nombre des fonctionnaires."
Refusant de la remise [link widoczny dla zalogowanych] en ordre des publiques, M. Iouchtchenko a promulgué, le 30 octobre, une loi augmentant le salaire minimum de 11 %, le 1er [link widoczny dla zalogowanych] novembre, et le minimum vital de 12 % à la même date et encore de 18 %, le 1er janvier 2010.
Kiev a les moyens de payer
"S'il y a des problèmes, que l'Europe leur file un petit milliard", a ironisé M. Poutine, lundi 2 novembre, suscitant une réaction de Bruxelles où l'on estime que l'Europe n'a "pas à souffrir" de ce conflit entre Moscou et Kiev et où l'on refuse de se "entra?ner dans la campagne électorale" pour l'élection du président ukrainien, prévue le 17 janvier 2010.
La posture [link widoczny dla zalogowanych] de M. Iouchtchenko est purement électoraliste et destinée à à son premier ministre, Ioulia Timochenko, pense-t-on à Bruxelles, Moscou et Washington. En effet, avec 2 % d'intentions de vote, le président sortant n'a aucune chance d'être [link widoczny dla zalogowanych] réélu.